Scrivener et le MultiMarkDown
Connaissez-vous les termes barbares de markdown et multimarkdown ? Ce sont des langages de description de page simplifiés, qui servent à formater votre texte “ à la volée “, sans avoir à lever les mains du clavier pour cliquer sur des boutons. L’usage en est fort simple, et permet de définir très facilement divers niveaux de …
titre 1
titre 2
titre 3
ainsi que d’insérer directement dans le texte du gras ou de l’italique ou encore des listes numérotées ou non. Ceci pour le markdown. Le multimarkdown ajoute la gestion du souligné ou ~barré~. (bon, là ça marche pas totalement…)
L'ajout d'images ou de liens est aussi relativement facilem, de même que l’insertion de tableaux ou de blocs de code ou de mises en surbrillance.
et dans Scrivener ?
J’ai testé divers outils pour écrire facilement en markdown, et j’ai choisi haroopad, qui se révèle simple, autodocumenté et qui reconnait toutes les extensions et variations du markdown.
Tout cela c’est bien joli, mais Scrivener aussi sait gérer le multimarkdown. Cela présente plusieurs avantages, dont le principal est d’autoriser une mise en page “globale” de cinq niveaux de titres, l’insertion de tableaux personnalisés ou encore des pavés de texte normalisés, ce qui peut être utile dans de nombreuses situations.
Malheureusement, la gestion “inline” (dans le texte) n’a rien de visuel ou de confortable : ce n’est qu’à la compilation que l’on peut apprécier le résultat. C’est là que peut servir un outil comme haroopad - en espérant que cela évoluera, car ce langage est vraiment très pratique pour rédiger rapidement des textes correctement formatés.
Malheureusement, la gestion “inline” (dans le texte) n’a rien de visuel ou de confortable : ce n’est qu’à la compilation que l’on peut apprécier le résultat. C’est là que peut servir un outil comme haroopad - en espérant que cela évoluera, car ce langage est vraiment très pratique pour rédiger rapidement des textes correctement formatés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire